
Et si la photographie devenait un acte de guérison ?
Pas un simple cliché, pas une image figée… Mais une offrande. Une caresse de lumière là où l’on croyait être brisée. Un chant muet qui murmure : tu n’as rien à cacher… tu as tout à révéler. Car il est des instants qui ne ressemblent à rien d’autre. Des instants où le corps n’est plus un champ de bataille, mais un sanctuaire. Des instants où l’on ne se maquille plus pour masquer, mais pour honorer.
Où l’on ne se tient plus droite par obligation, mais par fierté. Des instants rares, précieux, bouleversants, où l’on choisit pour soi, seulement pour soi de se voir telle que l’on est… et de s’aimer, enfin.
Dans l’intimité feutrée d’un appartement orienté comme un studio niché en métropole lilloise, à l’abri du regard du monde, naît une parenthèse. Une bulle suspendue, hors du temps, hors des jugements. Ici, la lumière est douce, comme une main posée sur l’épaule.
Le silence est chaud, enveloppant, presque maternel. Le velours des rideaux murmure qu’aucune blessure n’est trop grande, qu’aucune cicatrice n’est trop visible. Que chaque femme est une œuvre en devenir.
Elles arrivent parfois timides, les yeux baissés, le souffle un peu court. Elles disent qu’elles ne sont « pas photogéniques », qu’elles « ne savent pas poser », qu’elles « ne sont pas prêtes ». Et puis quelque chose bascule. Un regard dans l’objectif. Un soupir. Une lueur.
Le moment où le masque tombe. Et là, dans une posture abandonnée, un geste simple, un frémissement de peau… naît une image qui n’a rien d’esthétique, mais tout de vrai. Une image où la pudeur devient puissance. Où la fragilité devient lumière.
Où le corps, tout entier, dit : Je suis encore là. Et je suis magnifique.
À l’occasion d’Octobre Rose, ce rituel intime prend une dimension sacrée. C’est un hommage. À celles qui traversent. À celles qui ont perdu, reconstruit, accepté. À celles qui doutent encore. À celles qui regardent leur reflet sans savoir si elles ont le droit d’être belles, d’être fières, d’être femmes… autrement.
Ici, rien ne s’impose. Tout se propose. Vous choisissez ce que vous dévoilez. Un frisson d’épaule, la courbe d’un ventre, la trace d’une lutte. Vous choisissez le geste, la posture, le souffle. Et surtout : vous choisissez de vous offrir ce regard. Ce regard qui ne juge pas. Qui ne compare pas. Mais qui voit. Qui accueille. Qui révèle.
Certaines femmes vivent cette expérience comme un passage symbolique. Un anniversaire. Une renaissance. D’autres comme une lettre d’amour silencieuse à leur propre peau. Elles entrent parfois avec les bras croisés, en se protégeant. Elles ressortent droites, vibrantes, les yeux humides… et le cœur plein. Ce n’est pas de la photographie. C’est de la poésie incarnée. C’est un cri tendre et lumineux, un cri qui ne fait pas de bruit… mais qui résonne longtemps. Dans le corps. Dans l’âme. Dans le regard qu’on porte sur soi.
Alors, si vous sentez cet appel même timide, même lointain Sachez qu’il existe un lieu, ici, tout près, où votre histoire peut devenir lumière. Un lieu sans attente, sans rôle à jouer. Un lieu pour vous, entièrement.
Il suffit parfois d’un regard… pour se souvenir de qui l’on est.
Pour découvrir d’autres éclats d’âmes photographiés avec pudeur et passion :
👉 https://lesdelices-dun-regard.lumys.photo/octobre-rose-9-2020
Une initiative poétique et militante, entre Villeneuve d’Ascq et Mouscron
Pensée comme une respiration sensuelle hors du temps, cette campagne photographique n’a rien d’un protocole. Et tout d’un frisson.
Ici, il n’est pas question de discours à apprendre, de rôle à jouer, de masque à tenir. Il s’agit d’un murmure. D’un souffle. D’un instant suspendu où le corps n’a plus à se défendre, où il peut simplement… s’offrir à la lumière.
Ce n’est pas une campagne médicale. Ce n’est pas non plus une campagne publicitaire. C’est une ode à la peau. À la force des femmes. À cette force si étrange, si sensuelle, qui naît souvent dans la faille, dans le creux d’une épreuve, dans la cicatrice même.
Un hommage vibrant à celles qui ont connu la morsure du réel, et qui choisissent, aujourd’hui, de s’exposer… non pour se montrer, mais pour se retrouver.
Chaque prise de vue devient alors un instant de vérité charnelle. Un frisson qu’on immortalise. Une offrande muette à soi-même.
Un dévoilement intime, où l’on ne garde que l’essentiel : la peau, le regard, le battement.
Le corps ne ment pas. Il se souvient. De la peur, du courage, de l’amour, de la perte, de la renaissance. Et lorsqu’il se dénude dans la douceur d’un studio, ce n’est pas pour séduire. C’est pour guérir. C’est pour dire, sans un mot : je suis vivante. Je suis encore là. Et je suis belle, autrement.
Certaines femmes y viennent comme on entre dans un sanctuaire. Les gestes sont lents. Les respirations profondes. Un sein, une épaule, un ventre… Tout devient poème, tout devient lumière. Tout ce qui avait été tu se met à parler. Et dans cet abandon librement consenti, quelque chose renaît. Une forme de puissance douce, sauvage, indomptable. Une beauté nue, pure, indiscutable.
Ce n’est pas une simple séance. C’est un acte. Un souvenir de soi, gravé dans la lumière. À garder contre sa peau. Ou à déposer dans les mains de la vie, comme un remerciement.
Pourquoi ce projet est unique dans la région ?
Parce qu’il est porté par un photographe boudoir dont la signature, reconnue à Mouscron, Villeneuve d’Ascq et dans toute la métropole lilloise, s’écrit dans la douceur des gestes, la chaleur du regard, la pudeur lumineuse de chaque portrait.
Parce qu’il est pensé comme un geste d’amour pour celles dont le corps porte les traces du combat, ou la promesse d’une vigilance et qu’il est offert, avec délicatesse, aux femmes traversées par la maladie ou engagées dans la prévention.
Parce qu’il ose une vision nouvelle du corps féminin : ni soumis, ni jugé, ni comparé… mais libre, digne, sacré. Et infiniment vivant.
Une invitation au courage, à la tendresse, à la sororité
Il ne s’agit pas d’une simple séance photo. Il s’agit d’un murmure. D’un frisson. D’une promesse silencieuse. Une parenthèse où l’on s’accorde, enfin, à se regarder autrement.
Un ruban rose noué à même la peau. Une étoffe glissée, un souffle retenu, un battement… Et cette lumière, caressante, presque amoureuse, qui dévoile sans trahir. Tout ici est suggestion. Jamais obligation. Mais celles qui choisissent de se révéler, peau contre lumière, en sortent souvent… différentes. Apaisées. Ancrées. Sublimes.
Certaines femmes parlent d’un tournant. D’un retour à soi, délicat et puissant à la fois. Non pour plaire, ni séduire. Mais pour se sentir fière. Entière. Et furieusement vivante.
Un appartement intimiste, transformé en cocon photographique, vous ouvre ses portes sur rendez-vous à Mouscron, Villeneuve d’Ascq, ou ailleurs en métropole lilloise.
Le projet s’adresse à toutes les femmes, de tous les âges. Aucune norme. Aucune pose imposée. La tenue est libre. Le corps, souverain. L’expression, infinie.
Un simple ruban rose, symbole discret et vibrant, peut suffire. Il vous sera prêté le temps d’un instant… ou d’une métamorphose.
L’anonymat peut être pleinement respecté, si vous le souhaitez. Car ici, chaque femme est libre d’écrire sa propre lumière.
Dans la ligne d’une clavicule, dans l’ombre d’un sein, dans le frisson d’une cicatrice. Parce que certaines traces qu’elles soient visibles ou invisibles ne cherchent pas à s’effacer. Elles appellent autre chose :
Être vues. Être reconnues. Être aimées.
Et parce que l’art, parfois, a cette grâce rare… Celle de dévoiler sans jamais violer le mystère. D’effleurer l’âme sans même poser la main. De poser un regard… comme on tend une caresse. Cette campagne n’est pas un manifeste. C’est un souffle. Un battement.
Une confidence offerte à la lumière.
Une promesse faite au corps, à l’intime, à la part la plus nue de soi-même celle que l’on cache souvent, celle que l’on oublie parfois, celle que l’on juge trop.
Ici, chaque geste devient offrande. Chaque courbe devient poésie. Et la peau… devient langage. Libre. Précieuse. Intouchable et pourtant magnifiquement révélée.
Ce n’est pas une séance photo.
C’est un écrin de douceur, hors du temps. Un lieu secret, hors du regard des autres. Un espace sacré où l’on s’autorise, peut-être pour la première fois, à se regarder vraiment. Certaines femmes s’y rendent timides, tremblantes. Et repartent redressées, éblouies d’elles-mêmes. Non pas transformées… mais retrouvées. Souveraines.
Le tissu peut tomber, sans jamais être arraché. Le sein peut s’offrir, sans jamais se montrer. La pudeur ici n’est pas une barrière :
elle est un langage. Un choix. Un art. Offrez à votre corps ce privilège rare : celui d’être regardé comme une œuvre.
Non pas pour séduire. Mais pour s’honorer. Avec douceur. Avec respect. Et cet émerveillement silencieux qui dit :
Tu es vivante. Et cela suffit.
Pour découvrir d’autres portraits intimes où chaque regard devient une caresse,
où chaque image célèbre la femme dans toute sa lumière…
Laissez-vous guider, en toute pudeur, vers l’univers délicat du studio :
👉 www.les-delices-dun-regard.com
📞 07 84 19 85 26
Vous souhaitant une agréable visite, si vous avez besoin d'un complément d'information concernant votre Photographe à Lille : prenez contact dès à présent.